Personnellement, je m'interroge : comment s'assurer que le nom inscrit sur un tel titre électronique correspondra bien à l'identité réelle de celui qui le détiendra ?
À ce titre, le fichier TES aurait un autre intérêt : avec lui, on pourrait détecter une personne ayant précédemment disposé d'une autre carte d'identité. Le recours aux empreintes digitales ne permettrait-il pas de mettre en échec des tentatives d'usurpation d'identité, dans l'hypothèse où une erreur aurait été commise lors de la première délivrance de titre ?