C'est un débat que nous devons avoir. Notre mission à La Réunion nous a fait toucher du doigt les ravages du syndrome d'alcoolisation foetale. Ce n'est pas en apposant un logo sur les bouteilles qu'on règlera ce problème. C'est une question qui appelle, avant tout, un travail de prévention : notre amendement se veut une façon d'ouvrir le débat.