Les problèmes de financement de notre économie dépassent la seule question de l'ISF. Nous devons impérativement retrouver des moyens autres que bancaires pour stimuler l'investissement et la prise de risque, c'est-à-dire envoyer les bons signaux à ceux qui peuvent le faire. En Allemagne, pays avec lequel on aime à se comparer, l'investissement dans les entreprises est à 40 % personnel et familial... Réfléchissons avant de rejeter tous ces amendements.