Nous partageons tous la même volonté. Mais, vous le savez bien, il faut un capitaine dans ce navire, ce qui permettra de boucler le tour de table le plus rapidement possible. Certains départements sont prêts à soutenir le projet et n’ont pas encore été sollicités ; c’est précisément le travail du président de la société de projet de les saisir.
Tout le monde accompagnera le tour de table financier. On ne peut pas perdre 1, 8 milliard de fonds européens sous prétexte qu’on a tardé à créer cette société. Nous avons le devoir de réussir !