La commission émet un avis défavorable sur ces deux amendements. Nous avons déjà écarté cette demande précédemment.
Ce serait à mon avis rendre un mauvais service aux parlementaires que de les faire siéger au sein du CEPS, c’est-à-dire au cœur de négociations couvertes par le secret des affaires.
J’ajoute que le CEPS et l’ANSM sont des organismes de natures très différentes.