N’y avait-il pas, en Europe, des inquiétudes fortes au sujet de l’euro ? Après la Grèce et quelques États du Sud, c’était au tour de la France d’être désignée comme un point de fragilité pour la monnaie unique.
À l’époque, les agences de notation, très présentes – c’est curieux, on n’en entend plus parler… –, nous rappelaient régulièrement, semaine après semaine, la fragilité alarmante de l’État en faillite de MM. Sarkozy et Fillon.
Aujourd’hui, nous mesurons les effets positifs des mesures qui ont été prises.