Comme nous le constatons d'année en année, notre justice a accumulé des retards préjudiciables à son bon fonctionnement, donc au service des citoyens. La responsabilité de ces retards incombe à de nombreuses majorités différentes.
Nous sommes favorables au budget présenté. À s'interdire le débat dans l'hémicycle, ce que, comme Jacques Bigot, je déplore vivement, on se prive de la possibilité d'éveiller l'opinion sur la situation critique de notre justice. Il serait grand temps de prendre au sérieux cette situation et de cesser d'en faire l'otage du débat politicien.