Les données que nous avons demandées à Altarès relèvent des services du Premier ministre. Nous avons adressé notre demande à la Direction de l'information légale et administrative (DILA) qui l'a transmise à Altarès. En l'espèce, l'administration a laissé partir des données pour ne pas avoir à en assurer la gestion et en a perdu la maîtrise. Voilà pourquoi je parlais de privatisation des données publiques. Je n'accuse pas la DILA, qui a essayé de nous aider.