Nous exportons des poulets, produits à faible valeur ajoutée, d'autant que la compétitivité mondiale tire les prix vers le bas, ce qui pénalise nos producteurs qui doivent toujours plus s'endetter pour investir.
Or 40 % de la viande de volaille consommée en France est d'origine étrangère. Pourquoi aider les exportations alors que la demande sociale porte sur la proximité et la qualité ? Alors, soutenons sans réserve les filières de proximité.