« L’histoire m’absoudra », disait Castro. Mais il se trompait : l’histoire le désignera, aux côtés de Staline, de Kim Il-sung ou de Pol Pot, comme l’un des pires bourreaux de son propre peuple.
J’entends les sanglots pathétiques devant la statue de Bolivar du commandante Mélenchon, adorateur de tous les tyrans, pourvu qu’ils soient marxistes.