Le partage de l’utilisation des sols entre le tourisme et l’agriculture est un problème sensible, qui a donné lieu à de longues discussions à l’Assemblée nationale. Les députés ont finalement trouvé un équilibre qui marque une avancée. Il ne me semble pas opportun de le remettre en cause, car il existe un besoin de développement touristique sur le terrain, qui doit être concilié avec la protection des droits des agriculteurs. Il semble que, aujourd’hui, les choses ne se passent pas trop mal. Abstenons-nous donc de modifier le dispositif. L’avis est défavorable.