À l’évidence, la France ne pouvait pas agir seule. Mais quelles initiatives efficaces a-t-elle prises ? Aucune, malheureusement, et je le regrette.
Enfin, en matière de sécurité intérieure, monsieur le Premier ministre, la majorité sénatoriale sera à votre écoute, comme cela a été le cas jusqu’à présent. Elle le sera sur la prolongation de l’état d’urgence, car il est nécessaire de lever l’obstacle des prochaines échéances électorales. Nous formons des vœux pour la pleine réussite de votre action en ce domaine.
Mes chers collègues, il nous reste encore un peu de travail à accomplir jusqu’à la fin du mois de février, mais l’heure du bilan a bel et bien sonné. Les Français rendront bientôt leur verdict.
Monsieur le Premier ministre, vous avez dit hier à l’Assemblée nationale que vous n’étiez pas en poste pour éteindre la lumière avant de partir. Vous avez raison, laissez-la allumée, nous pourrons ainsi nous mettre immédiatement au travail.