Je partage les craintes de mon collègue Delattre. Moi aussi je suis affecté par la situation en Seine-Saint-Denis.
Je regrette de n’avoir pas pu présenter les amendements que j’avais préparés sur le projet de loi de finances pour 2017, car ils démontraient l’intérêt des chambres de commerce dans les domaines de l’apprentissage et de la gestion des grandes écoles. Je suis toutefois un peu rassuré par ce que vient de dire M. le secrétaire d’État à l’instant. Il ne faut pas toucher à l’apprentissage, qui est de bonne qualité dans les chambres de commerce et d’industrie.