Les 3 %, je me souviens de tout ce que vous en avez dit, avant de considérer aujourd’hui qu’il faudrait les jeter par-dessus bord…
En ce qui concerne la compétitivité des entreprises, vous critiquez le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi – CICE – et proposez une hausse de la TVA de 1, 5 point ou 2 points, ce que nous n’approuvons pas. Nous aurions pu en débattre, de même que de la réduction de dépenses de 100 milliards d’euros que vous projetez.
S’agissant du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu, une question de première importance, je rappelle que, pour 80 % ou 85 % des contribuables français, qui sont de simples salariés, il représentera une grande simplification administrative. Bien sûr, il y a une série de cas compliqués, que vous mettez volontiers en avant ; mais, comme vous le savez, la France est le dernier grand pays qui n’ait pas adopté ce système. Votre attitude m’évoque un peu la France du passé, …