Compte tenu du rôle très particulier du commissaire aux comptes, qui est non pas un conseiller, mais un garant de la régularité, les raisons pour lesquelles on oblige les sociétés anonymes à changer de commissaire aux comptes tous les six ans tombent sous le sens.
Ce rôle de vérificateur est au moins aussi important à l'égard d'un parti politique qu'à l'égard d'une société, non seulement pour l'intérêt du parti, mais aussi pour le public. Par comparaison, la mesure serait utile.