Tout d’abord, la France est, avec l’Espagne, le Portugal et la Grèce, l’un des quatre pays de la zone euro à être encore placés en procédure de déficit public excessif.
Ensuite, la maîtrise apparemment accrue de nos dépenses publiques doit être mise en perspective.
Au-delà des efforts d’économies qui ont été engagés, des facteurs indépendants de la volonté des pouvoirs publics ont contribué à une maîtrise accrue de nos dépenses et au respect de la trajectoire : l’évolution à la baisse des taux d’intérêt, à laquelle est due 40 % de la réduction du déficit public intervenue depuis 2011, …