Ne faut-il pas enfin prendre la question de la hausse des ressources propres dans le budget européen à bras-le-corps ? Je m'explique : la pusillanimité du Conseil européen sur le budget, ce qui ne se justifie pas puisque l'Europe n'est pas endettée, serait sans doute moins grande si ce budget ne reposait pas d'abord sur les dotations nationales. Ensuite, quelle est, au juste, le projet européen du Président de la République ? Pour ma part, je peine à saisir s'il en a un...