C'est pire pour Chypre où 40 000 soldats turcs sont stationnés, dans la partie occupée de l'île.
Le rapport nous propose de lever la réserve d'examen parlementaire concernant l'accord de réadmission. En êtes-vous d'accord ?
Il en est ainsi décidé.
Comme je l'ai indiqué au ministre turc des affaires européennes, nous sommes sensibles à ce qui se passe en Arménie : l'histoire nous a lié aux Arméniens. Nombre d'entre eux se sont refugiés chez nous, arrivant à Marseille et venant de Turquie dans des circonstances dramatiques.
Pour l'Union européenne, la politique de voisinage et le Partenariat oriental sont des leviers pour travailler avec les pays comme l'Arménie, selon une méthode donnant-donnant : respect des droits et des libertés, institutions politiques transparentes, en échange d'aides de notre part. Cela fonctionne assez bien.