Sur la seconde question, relative à la gouvernance, la proposition de la Commission s'inscrit dans une évolution que je qualifierai de « normale ».
En pesant plus sur la « gouvernance » d'Europol, la Commission pourrait peut-être faciliter les négociations des accords de coopération opérationnelle avec des États tiers. Notons que c'est la Commission qui a créé le Centre européen de lutte contre la cybercriminalité. L'essentiel, pour nous, est qu'Europol, organisme transversal, reste sur son « coeur de métier ».