Le vin rosé est un bon exemple. La Commission proposait de faire du vin rosé en mélangeant 90 % de vin blanc et 10 % de vin rouge, au mépris des efforts des viticulteurs. C'est un bon exemple parce que, comme aujourd'hui, les professionnels et les élus ont réagi et ont trouvé le soutien de l'opinion. Certains, au sein de l'administration française, pensaient que le dossier était bouclé, mais la pression politique a fait reculer la Commission et nous avons eu gain de cause. Il faut espérer qu'il en soit de même cette fois, même si le contexte est différent. Dans le cas du vin rosé, il y avait une proposition de règlement qui n'était pas encore adoptée. Dans le cas présent, il s'agit de modifier un règlement déjà adopté. C'est plus difficile.