En effet, je suis persuadé que plusieurs Etats, peu sensibles aux questions viticoles, retiennent leur position et en feront une monnaie d'échange au cours de la négociation sur la réforme de la PAC. Chaque Etat a ses priorités. Pour prendre l'exemple de la Pologne, le pays va souhaiter accélérer la convergence des aides, limiter le verdissement du premier pilier, maintenir un couplage sur le tabac, qui est une culture traditionnelle. D'autres pays vont être sensibles au plafonnement des aides. Tout peut être dans la balance.