Je répondrai par écrit à la première question du sénateur Humbert. Chypre a sollicité en juin l'assistance financière de l'Europe car son secteur bancaire s'est trouvé très lié au secteur bancaire grec. Cela doit nous inciter à couper définitivement les liens entre dette souveraine et dette bancaire. L'évaluation par la troïka à Chypre est en cours. J'ai entendu des choses très contrastées, portant sur 2,5 à 4 milliards d'euros. En l'absence d'expertise de la troïka, il m'est difficile de répondre.