Il faut qu'au terme de cette expertise, Chypre procède à une demande officielle d'assistance. Il appartiendra ensuite à l'Union européenne de définir les conditions d'intervention, selon qu'il s'agit d'une demande d'assistance directe, de recapitalisation des banques, etc.
M. Gattolin évoque la pratique des pays du nord disposant d'infrastructures portuaires puissantes, comme la Belgique et les Pays-Bas. Ces États bénéficient de cette façon d'une forme de rabais déguisé qui n'a pas échappé à notre sagacité. Nous demandons, dans le cadre de la remise à plat des ressources propres que tout cela soit corrigé. Cela n'est pas très transparent.