Je m'associe aux compliments de mes collègues. Au Burkina Faso, les parlementaires m'ont exprimé leur inquiétude sur la situation du Nord du pays. Comme au Mali, l'absence de l'État rend ce territoire vulnérable, et il est facile d'y recruter des jeunes. Depuis l'attentant de janvier 2016, la situation est stable. Mais les troupes ne pourront peut-être pas faire face à de nouveaux attentats. Il y a un besoin de formation. Y a-t-il des programmes en la matière ? Vous avez aussi parlé d'initiatives politiques. Qu'entendez-vous par là ?