À l'instar de ce que l'on observe dans les autres pays baltes, il existe une véritable crainte d'un coup de force russe, qui s'appuierait sur les russophones installés sur le territoire. Même si la minorité russe, qui représente 6 % de la population, est moins importante qu'en Lettonie, où elle atteint près de 30 % de la population. Le risque d'un coup de force, via des forces paramilitaires, dans les régions du pays où cette minorité est très représentée n'est pas écarté.