Mon propos a été un peu long, et je vous prie de m’en excuser, mais c’est révélateur de l’intérêt que je porte à ce débat passionnant.
Pour finir, je souhaite bonne chance à celles et ceux qui se présenteront aux élections sénatoriales, et j’ai une pensée particulière pour celles et ceux qui ont décidé de ne pas solliciter de nouveau les suffrages des grands électeurs : comme l’on dit sur mon territoire lorsque l’on s’aime bien et que l’on se souhaite le meilleur : que les vents, chaque jour, vous soient favorables !