Par ailleurs, c’est tout de même un peu fort d’entendre certains parler de prêchi-prêcha, alors qu’il est question de dignité. Comme l’ont rappelé nos collègues Roland Courteau et Bernard Vera, des associations sont confrontées au quotidien à la détresse de ceux qui n’ont pas accès à l’eau. Ce n’est pas du prêchi-prêcha, c’est la vraie vie des gens !
J’entends en revanche l’argumentation de M. Cambon. La loi Cambon porte effectivement sur le volet curatif.