Vous dites qu’il faut 1, 5 % de croissance pour faire diminuer le chômage. L’économie est une science, certes. Pour autant, elle n’est pas forcément une science tout à fait cartésienne, comparable, par exemple, aux mathématiques. Ainsi, il apparaît que certains facteurs autres que la croissance peuvent avoir des conséquences sur l’emploi.
Faut-il faire de la croissance en soi un objectif ou faut-il finalement attacher plus d’importance à ses effets ? Je vous donne rendez-vous sans problème, monsieur le sénateur, lorsque nous serons saisis du projet de loi de règlement !