Tout à fait, aucun produit dépourvu de valeur après réparation.
Ces produits sont confiés à des éco-organismes avec lesquels nous travaillons sur la valorisation matière, laquelle peut atteindre pour les téléphones portables 14 000 euros la tonne. Peu d'acteurs industriels dans le monde peuvent valoriser ces matières. La filière se construit donc autour de ces deux segments : les produits n'ayant plus de valeur après réparation, et ceux qui en ont.
Certains produits n'ayant plus de valeur sur le marché de l'occasion sont tout de même testés par des acteurs du secteur de l'insertion. Par ailleurs, un des membres de notre fédération a créé une activité de téléphones vintage.