Il semble qu'il n'y ait pas de grande différences théologiques entre les quatre grands courants de l'islam en France - algérien, marocain, turc et l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) - alors que leurs organisations sont très diverses. Le Conseil français du culte musulman fonctionne par grands ensembles. Ces cloisonnements sont-ils surmontables ou faut-il s'en accommoder ? L'Algérie, le Maroc et la Turquie s'accordent-ils sur le nombre d'imams détachés ? La montée en puissance de votre institut permettrait-elle de limiter qu'on nous impose des imams étrangers ne maitrisant pas nécessairement le français et souvent moins intégrés dans notre société ?