Je n'interviens à ce stade que parce que je dois malheureusement vous quitter. Je veux remercier notre présidente, ainsi que les rapporteurs, pour la synthèse qu'ils nous ont présentée. J'ai moi-même apporté une contribution et je n'ai à ce stade pas d'objection à opposer à leur propos, dans lequel je me retrouve. Nous sommes au reste tous d'accord pour notre travail sur les principes de la loi de 1905.
Une question, cependant : il n'a pas été question, dans votre exposé, de ces acteurs importants que sont les aumôniers.