Vous semblez dire qu'il serait impossible de financer le culte, ou par exemple la formation des imams, par le halal. Ce n'est pas ce que pense Djelloul Seddiki, directeur de l'Institut de théologie de la Mosquée de Paris. Si le CFCM est absent, devrait-il être présent ? Doit-on dupliquer le modèle de la cacherout, contrôlée par des religieux, pour offrir des garanties au consommateur - même si le législateur n'a rien à voir là-dedans ? Le chiffre de 6 milliards d'euros a été évoqué concernant le halal : le confirmez-vous ?