Je remercie notre collègue Fabienne Keller d'avoir pris l'initiative de faire cette communication.
Permettez-moi de revenir sur la question des 100 milliards d'euros. Nous allons essayer de décortiquer cette somme, en toute humilité, et demanderons à Michel Barnier de venir nous en expliquer le calcul. Mais tout cela fait partie des postures de négociations.
Par ailleurs, je voudrais que l'on remette en exergue une proposition des libéraux-démocrates, à savoir un référendum à l'issue des négociations, après que toutes les configurations auront été mises sur la table. Nous sommes tous ennuyés par le Brexit. Il faut peut-être leur tendre la main dans la dernière ligne droite.