J'ai moi-même toujours prêté une attention particulière à ce grand pays, que je qualifie généralement d'un peu turbulent, mais avec lequel nous devons entretenir des rapports constructifs et attentifs. Son comportement en Ukraine, dans le Donbass et en Crimée, nous savons ce qu'il est. Mais ce n'est pas en maintenant des sanctions surtout personnelles que l'on résoudra les problèmes.
Hier, à l'ambassade de Russie où je m'étais rendu pour le départ du conseiller agricole, j'ai insisté de nouveau sur le travail de notre commission et de nos deux rapporteurs, notamment auprès de l'ambassadeur, M. Orlov, et du conseiller sur le départ, qui monte en grade à Moscou dans le domaine agricole et agroalimentaire ; il est essentiel que nous puissions continuer le dialogue sur ce sujet.