Je souhaite indiquer au passage que nous allons mener une évaluation de la loi « Sapin II » qui a été promulguée en décembre 2016. Nous avons besoin de vérifier si les outils mis au service de la compétitivité ont apporté leurs preuves.
En tant que Normand, je considère que la filière équine est essentielle pour le développement de notre territoire, du point de vue économique et sportif. Il demeure encore des marges de progression que nous devons accompagner, notamment sur l'application du taux réduit de TVA. Les élevages équins devront également être pris en compte dans la future PAC. La filière équine, ce n'est pas uniquement un cheval qui gagne un concours de saut d'obstacles, mais aussi des élevages et un savoir-faire qui s'exporte.