Comme le relève M. le Premier ministre, vous n’y êtes pour rien : il s’agit d’un impôt socialement injuste pour les collectivités locales, et que, fiscalement, les Français ne comprennent pas.
M. le ministre d’État et moi-même nous parlions ce midi encore des pistes que nous allons soumettre à la discussion des élus et des parlementaires, particulièrement des sénateurs. Un certain nombre d’initiatives seront proposées. Quand on sait que 150 des plus grandes collectivités représentent 60 % de la dépense publique, peut-être faut-il davantage de jardins à l’anglaise qu’à la française… Mais c’est un point sur lequel, je vous le promets, nous reviendrons devant vous.