Dans ce cas, nous considérons, pour notre part, qu’il faut poser la question du scrutin direct.
Monsieur le secrétaire d’État, puisque l’on vote déjà au suffrage universel direct dans des petites communes ou des petits cantons, ne vous paraît-il pas raisonnable d’en faire autant pour désigner des élus qui auront la charge d’une collectivité très intégrée, aux compétences nombreuses, comptant peut-être 1 million d’habitants ?
En l’occurrence, l’élection ne porterait pas sur des thèmes municipaux.