L'assemblée réunie aujourd'hui dans cette salle comprend 30 % de femmes, du côté scientifique comme du côté politique de la table. Un même plafond à 30 % s'observe pour les expertises internationales sur le climat. Un même plafond s'observe aussi dans les filières scientifiques en première année post-baccalauréat. La question du genre dans les carrières scientifiques a été abordée avec l'effet « plafond de verre ». Cela mériterait d'être envisagé par l'Office, ne serait-ce qu'au regard des effets négatifs induits par l'impossibilité d'attirer tous les talents.