Je suis ravi de constater que vous avez englobé la dimension ultramarine de la France et ses problématiques propres dans votre projet. La Guadeloupe est très fortement accidentogène, et connaît souvent des problèmes d'approvisionnement. Comment comptez-vous aider l'établissement du sang local à faire preuve de pédagogie à l'égard de la population ? Il y a quelques années, l'idée de fermer l'établissement du sang local pour tout concentrer en Martinique avait suscité des craintes eu égard aux difficultés d'approvisionnement et à la forte dépendance au transport aérien.