La maîtrise de la langue française fait déjà partie des qualifications professionnelles, et elle est nécessaire à l’exercice du métier d’orthophoniste.
À ce titre, les commissions d’autorisation d’exercice opèrent d’ores et déjà ce contrôle en procédant à une audition des candidates et des candidats quand elles l’estiment nécessaire.
Le Gouvernement n’est donc pas favorable à ces amendements, qui sont satisfaits.