Je ne doute pas, monsieur le ministre d’État, de votre bonne foi, pas plus que de celles du gouvernement actuel, du gouvernement précédent et du Parlement, qui a largement soutenu les dispositions adoptées depuis deux ou trois ans.
Je veux simplement vous dire que FRONTEX fonctionne mal, qu’il faut plus de moyens en hommes et en matériel, pour le contrôle des passeports et des frontières.
Je ne partage donc pas votre position. Je pense qu’il faut être beaucoup plus vigilant et qu’il faut, en toute hypothèse, accorder à ce sujet une attention majeure, notamment à l’échelon européen. Nous ne pourrons pas en sortir autrement qu’en confortant nos frontières.