Permettez-moi de souligner encore une fois l’intérêt d’avoir une politique durable et lisible pour les filières. Nous discutons précisément de la filière oléoprotéagineuse, qui a créé 20 000 emplois et qui produit, je le répète, des tourteaux dont nous avons besoin pour l’élevage français. S’il en va autrement, nous serons obligés de nous tourner vers l’importation de protéines végétales, du Brésil notamment.
Quoi qu'il en soit, je retire cet amendement, monsieur le président.