Madame Férat, monsieur Gremillet, je suis navré que vous ayez ce sentiment-là. Je vous rappelle que nous sommes soumis à l’injonction du Conseil d’État sur ces questions de pollution atmosphérique et que, par ailleurs, l’Union européenne a imposé à tous les États membres la périodicité de quatre ans.
Je ne vous fais aucun procès d’intention, mais je ne puis pas me permettre d’approuver votre amendement : votre intention – rallonger le délai pour permettre un peu plus d’efficacité – ne serait peut-être pas du tout comprise, et je suis obligé de donner des gages, notamment à l’Union européenne et au Conseil d’État.