Nous devons respecter l'indépendance des négociations. J'ai souhaité, avant d'être nommé, une couverture de 100 % du territoire. Je suis désormais plus réaliste, et préfère que 100 % de nos concitoyens soient couverts, et la plus large part possible du territoire, ainsi que les grands axes de circulation et d'activité agricole et industrielle.
La cartographie de l'Arcep est formidable, mais elle ne correspond jamais aux endroits où je me rends. Nous devons développer une mesure plus participative, car l'administration n'a pas les ressources pour faire une cartographie exhaustive. Les maires, les collectivités territoriales, les citoyens même, doivent partager l'information. Je pense que nous atteindrons nos objectifs.