Je soutiens l’amendement n° 59 rectifié bis du groupe socialiste, que j’ai cosigné, notamment, avec Roland Courteau.
Je ne vois pas pourquoi on ferait une exception pour la recherche. Aujourd’hui, le mode de recherche est toujours le même : il s’agit de la fracturation hydraulique.
Dans mon département – j’ai déjà évoqué cette problématique –, trois permis ont été refusés. En ce qui me concerne, s’il était question de faire des recherches par fracturation hydraulique sur des sites protégés pour ce qu’ils représentent sur le plan tant de l’histoire de l’Homme que de la biodiversité, je m’y opposerai très fortement.
Au nom de cette logique, je soutiens cet amendement, qui tend à interdire ce type de recherche, même lorsque l’objectif visé est une meilleure connaissance du sous-sol.