En cours de finances publiques, on apprenait qu'un bon impôt a une base large, un taux faible et pas d'exceptions... Les intérêts moratoires de 4,8 % sont élevés. Parlons-en en séance. Pour le coup, c'est un bon placement ! Je ne voterai pas l'amendement, car un projet de loi rectificative n'a pas pour objet de revoir les hypothèses macroéconomiques. D'ailleurs, 1,7 % correspond encore à la moyenne des prévisions. N'y touchons pas. Souvenons-nous, enfin, de la surtaxe Juppé en 1995, de celle créée par Dominique Strauss-Kahn en 1997 ou de celle de François Fillon, en 2011. Ce dispositif est donc bien connu.