Nous ne partageons pas cet avis, qui est contredit par ce que nous voyons sur le terrain, à savoir la souffrance et la mobilisation des personnels, la dégradation de la qualité des soins.
Le Gouvernement ne cesse de se livrer à des opérations de « tuyauterie », pour reprendre une expression employée en commission sur d’autres travées que les nôtres. Mais derrière tout cela, il y a de l’humain, un système de santé en souffrance… Ce qui manque pour faire évoluer les choses, c’est la volonté politique.