Cette fois-ci, je ne vais pas obtempérer !
En effet, les réponses apportées ne me satisfont pas. Il s’agit d’une urgence : dès la fin de cet hiver, il y aura de nouvelles expulsions de personnes atteintes de pathologies lourdes et en situation extrêmement précaires.
Ce n’est plus une affaire comptable, c’est une affaire d’humanité. La solution pour faire face à ce problème, qui passe par les appartements de coordination thérapeutique, me paraît tout à fait adaptée. Nous ne pourrons pas échapper à la responsabilité de ce qui pourrait arriver à certaines de ces personnes, si elles venaient à être expulsées de leur logement.