Monsieur le sénateur, vous m’interrogez sur le rôle joué par la péréquation dans la préservation des équilibres territoriaux, en particulier entre le monde urbain et le monde rural.
Votre question me donne l’occasion de vous fournir quelques chiffres qui démontrent à quel point la péréquation, tant verticale qu’horizontale, bénéficie au monde rural. Je le dis sans provocation et en l’absence de M. Adnot : c’est pourquoi je n’entends aucune protestation !