Ces deux amendements présentent les mêmes inconvénients : premièrement, ils créent une distorsion de concurrence entre les chaînes qui ont signé un contrat d’objectifs et de moyens et les autres ; deuxièmement, se pose la question de leur compatibilité avec la directive TVA. Selon l’analyse qu’en fait la commission, l’extension du champ d’application du taux de TVA de 2, 1 % serait contraire aux règles communautaires concernant le taux super-réduit de 2, 1 %.
L’avis est défavorable.